C’est le thème de cette première soirée à laquelle nous vous convions.
Dès lors, nous vous proposerons régulièrement, des « Rencontres citoyennes » pour construire à partir de ce qui nous unit, plutôt que détruire avec ce qui nous divise ; afin de nous donner le pouvoir de composer ensemble un monde en commun.
Nous vous invitons à prendre connaissance de la Feuille Fidésienne # 7.
Au menu :
L’EDITO sur l’urgence climatique et notre responsabilité
LE BILLET ENERG(ET)IQUE
LA FEUILLE CITOYENNE (Interview d’O. Coupiac, ingénieur en énergies renouvelables) avec insertion d’un QR Code pour retrouve suite d’article et références
La Feuille Croquante – L’image qui parle d’elle même
Ceci n’est pas une plaisanterie : CARTON ROUGE pour notre municipalité !
À confondre intérêt général et opportunité de faire le buzz à tout prix, avec pour cible l’exécutif de la Métropole de Lyon, notre municipalité se trompe totalement d’objectif. Résultat un vrai « bad buzz », avec ces 4000 fausses contraventions pour inciter les automobilistes à se rendre sur le site Internet de notre ville et répondre à un questionnaire totalement biaisé sur la ZFE-m (Zone à faibles émissions de gaz à effet de serre, pour les mobilités).
Cette initiative est d’autant plus critiquable qu’elle omet sciemment de préciser le premier objectif vital de l’instauration des ZFE-m, au niveau européen : la baisse des émissions de gaz à effet de serre pour améliorer nettement la qualité de l’air que nous respirons !
Pour rappel, en référence à la loi LOM de décembre 2019, le principe d’une zone à faibles émissions repose sur l’interdiction d’accès à une métropole, ou à une partie d’une métropole, des véhicules qui ne répondent pas à certaines normes d’émissions des polluants atmosphériques (Cf. Vignettes Crit’Air).
La ZFE-m est une stratégie européenne, déterminante pour améliorer durablement la qualité de la vie en ville, en préservant les populations des risques pour leur santé liés à la pollution de l’air mais aussi des nuisances supportées quotidiennement par les habitants qui vivent à proximité des axes routiers.
Alors que le dernier rapport du GIEC (4 avril 2022), nous a clairement indiqué qu’il fallait agir dans les trois ans pour espérer freiner l’emballement du dérèglement climatique en cours, notre municipalité décide d’imprimer pour un coût, certes modeste (500 €, selon le Progrès) ces fausses contraventions, sans débat, sans informations complètes, sans discernement.
Notre rapport à nos biens communs, comme l’air ou l’eau, doit être traité avec considération, avec une attention particulière à ce que nous laisserons aux générations futures. Nos véhicules, nos logements, nos modes de production et de consommation, nos bâtiments publics, doivent être moins énergivores et plus respectueux de l’environnement.
Aussi s’opposer à cette ZFE-m – comme au TPC – sans apporter de réponses aux besoins et aux enjeux climatiques du présent, va-t-il devenir la norme à Sainte-Foy-lès-Lyon ?
Le calendrier de la ZFE-m sur la métropole de Lyon est déjà en retard par rapport à celui d’autres pays d’Europe qui l’appliquent depuis 10 ans. Alors pourquoi vouloir repousser l’échéance ? Il est faux de prétendre que nos compatriotes ne sont pas prêts à ces évolutions en faveur de leur santé et de leur environnement, pour des raisons économiques. On ne peut manquer d’observer aujourd’hui, l’augmentation du nombre de cyclistes (et notamment de familles cyclistes) à Ste Foy ainsi que de conducteurs de voitures électriques et hybrides.
Notre préoccupation, et la leur, est l’intérêt collectif, pas l’intérêt individuel de « doux rêveurs » qui croiraient encore que tout peut continuer comme avant. En responsabilité, l’exécutif métropolitain conçoit un programme d’aides adaptées aux plus modestes (particuliers, artisans, commerçants, entrepreneurs, …). Pourquoi le nier ?
Nous avons trois ans pour réagir, en conscience ; c’est peu, nous avons besoin de stratégies de résilience et d’accompagnements adaptés ; certainement pas de plaisanteries sur des sujets aussi sérieux ! Alors, oui, CARTON ROUGE à notre municipalité qui égare nos concitoyens au lieu de les aider dans les choix à faire pour améliorer ensemble notre cadre de vie.
Nos vœux pour 2022 se trouvent à nouveau bouleversés par la pandémie. Cependant nos convictions restent les mêmes, nos espoirs ne s’amenuisent point et nos objectifs se renforcent.
ENSEMBLE, il est possible de :
Rêver un monde meilleur, une humanité atout cœur
Coopérer localement, professionnellement
Construire des projets durables
Agir pour le climat
Dessiner un avenir pour nos générations futures
Rendre nos terres re-cultivables
Se mobiliser aujourd’hui pour rendre demain possible
Dialoguer et être attentif aux uns et aux autres
Prendre part et se préparer aux changements climatiques
Oui, en 2022, ne renonçons pas à imaginer ensemble un AVENIR désirable qui conciliera joyeusement justice sociale et écologie !
Le GIEC (Groupement d’experts intergouvernementaux sur l’évolution du climat) vient de publier la première partie – scientifique – de son nouveau rapport. Il nous alerte, une nouvelle fois, à partir d’études scientifiques objectives, sur l’état de notre planète, sur l’impact des activités humaines et leurs conséquences mesurables sur les changements climatiques.
Les faits sont là : – au-delà des deux degrés annoncés de hausse de la température globale sur notre Planète, des espèces animales et végétales disparaissent , des régions (littorales, notamment) sont dévastées et des populations sont obligées de se déplacer car leurs habitats ne sont plus vivables. C’est là une des conséquences les plus dramatiques du réchauffement climatique en cours.
Il n’est plus temps de différer, l’heure est à l’action concrète : il nous faut nous adapter et atténuer l’emballement du climat, pour la durabilité de la vie de tous les êtres vivants, humains et non humains. Pour cela, il nous faut des politiques publiques ambitieuses et courageuses qui ne se contentent pas uniquement de solutions à court terme. Travailler en cohérence avec les acteurs économiques et sociaux des territoires de façon stratégique, en adéquation avec le vivant et un développement souhaitable pour leurs habitants.
A Sainte Foy-Lès-Lyon et dans la Métropole de Lyon, ces dernières années, on artificialise beaucoup les sols pour accueillir jusqu’à 10 000 nouveaux habitants par an, et pour différents équipements. Le plus possible, en reconstruisant la ville sur elle-même mais, pas que. Ainsi, depuis ce début d’année 2021, nous voyons un nouvel EHPAD et des immeubles et maisons individuelles s’élever , à proximité du collège du Plan du Loup, sur des hectares de prés qu’Il va falloir compenser par de nombreuses plantations d’arbres.
Parallèlement, la cristallisation autour du projet métropolitain de transport par câble ne démontre qu’une volonté de s’opposer, en interdisant ta possibilité de tout débat démocratique. Usagers quotidiens des transports, nous pensons qu’il nous faut une autre politique de déplacements à l’ouest, qui réponde efficacement aux enjeux environnementaux et sanitaires de notre territoire. Pour cela, il nous faut – a minima – permettre un honnête débat contradictoire pour décider d’abord, ensemble, de la pertinence – ou non – de ce projet.
Il nous reste à vous souhaiter de vivre de belles vacances estivales, en prenant soin de vous et de vos proches. Bel été à vous
N.B. – Notre prochaine assemblée générale est fixée au jeudi 30 septembre. Nous vous tiendrons informé·e·s très prochainement des conditions dans lesquelles elle se tiendra.
La Feuille Fidésienne #4 est à lire en ligne ici même, à télécharger ou même à imprimer (en recto verso) si vous ne pouvez faire autrement.
N’hésitez pas à la diffuser par mail à vos entourages.
Dans ce numéro, M. Maisonnier, spécialiste des transports qui a travaillé dans ce cadre pour la préfecture de Lyon, nous apporte son éclairage sur le transport par télécabine.
Quand la mairie n’arrive pas à recruter de directeur des services techniques et d’un responsable de l’urbanisme , elle fait appel aux services d’une entreprise localisée dans Le Pas de Calais…
Vous lirez aussi un point sur la COVID-19 et son impact sur les services périscolaires à Sainte-Foy-lès-Lyon.
Sans oublier les petits billets d’humeurs et surtout le dessin de Patou qui nous questionne sur le deux poids, deux mesures de la mairie fidésienne…
Il s’agit de la maladie de la suie de l’érable qui se propage avec les spores transportés par le vent. Son apparition, suite aux épisodes répétés de sécheresse de ces dernières années, mais aussi d’orages et de vents, est une conséquence directe du réchauffement climatique.
La particularité de cette maladie est que le champignon assèche les écorces de l’arbre qui vont se craqueler et libérer les spores dans l’atmosphère, contaminant ainsi de façon irrémédiable d’autres érables voisins. Le bois envahi ne montre pas un blocage de la sève brute ; la chute des feuilles observée est sans doute due à l’intervention de toxines. Ainsi, une pellicule noire apparaît sur les écorces des arbres contaminés par le champignon. Il n’y a aucun traitement possible, il faut détruire l’arbre dans les règles de l’art (démontage et non abattage) suivi d’une incinération du bois contaminé.
Il suffit de se promener, par exemple, dans le parc du Mont-Riant, pour se rendre compte de l’état de nos arbres frappés par cette maladie. Nous avons compté pas moins de 20 érables atteints sur une partie de cette parcelle !
L’urgence sanitaire est là car les spores de ce champignon, s’ils sont inhalés, sont dangereux et peuvent aggraver les problèmes respiratoires des personnes déjà fragilisées.
Lors de notre intervention au conseil municipal du 4 juin, Yvette Lathuilière a informé quant à ce risque. Madame GOUBET nous a indiqué qu’elle venait d’être mise au courant et qu’elle prendrait prochainement toute la mesure de ce phénomène.
Nous demandons que soit conduit, au plus tôt, un état des lieux de l’ensemble de nos parcs, jardins et bois. Il est urgent d’agir pour garantir et préserver la santé et la sécurité des promeneurs. Pour ce faire, nous demandons l’inscription dans le budget municipal 2020 d’une ligne spécifique dédiée à l’éradication de cette maladie, sur notre commune. (1)
Cette maladie qui va décimer nos érables n’est malheureusement qu’une illustration de plus du réchauffement climatique que nous traversons. C’est pourquoi nous voulons agir, avec tous les fidésiens qui en sont conscients, pour sauver l’intégralité de notre patrimoine végétal. Notre bien-être urbain en dépend.
C’est pourquoi, entre autre, que nous nous opposons à l’agrandissement du parking du centre-bourg, à proximité de la résidence de personnes âgées de Beausoleil !
(1) La ville de Poitiers n’a pas hésité à abattre 55 de ses arbres victimes de la maladie de la suie pour garantir, sans délai, la sécurité de ces habitants. Qu’attendons-nous ?
Faïza Mihoubi, conseillère municipale, le 6 juin 2020
Sous des prétextes divers, notre municipalité fait abattre des arbres adultes et sains, qui ont résisté aux aléas climatiques de ces dernières décennies, pour les remplacer par de jeunes pousses dont on espère qu’elles vont tenir face au réchauffement climatique. Est-ce bien raisonnable alors que seuls les grands arbres dispensent ombre et fraicheur dans nos périodes caniculaires ?
Que dire de ce diagnostic, trop tardif et partiel, sur notre patrimoine arboré communal qui vient attester de la mauvaise santé d’arbres, certes centenaires, mais qui pourraient largement durer encore le double de leur vie passée ?
Sans parler de l’« expertise », tronquée, pour valider l’abattage, ce mois de juin, de deux arbres bien vivants du Clos du Cardinal : un tilleul et un érable d’environ 120 ans. Des arbres indispensables à notre bien-être en centre-bourg et particulièrement au sein de cet espace végétal public, à proximité d’une résidence de personnes âgées.
Que dire de l’affolement récent, malgré des alertes répétées depuis des années par les vigies que sont notamment les membres de l’Agupe, face à la dissémination des spores de la maladie de la suie des érables sycomores de nos parcs du Brûlet et de Mont Riant ?
Et en ce mois de décembre, comment ne pas s’émouvoir par le chant du cygne – orchestré par une Maire, qui fait « feu de tout bois » – du magnifique séquoia de ce qui aurait dû être le jardin de l’église et est devenu, au fil des décennies, un parking, pour les prêtres et les paroissiens ; et en ce moment, un entrepôt d’engins et de déchets de chantier ?
Pourtant, ce séquoia qui n’a que 150 ans appartient à un espace boisé classé communal (Cf ; PLU-H), mais n’a pas fait l’objet de protection particulière depuis au moins 40 ans. Quelle indignité pour nous tous qui sommes collectivement responsables ! Une fois encore, notre incapacité à prendre soin de la nature proche qui habite la ville avec nous, et que nous sommes nombreux à ne pas voir au quotidien, est criante. Combien de fidésiens, même habitants du centre, avaient conscience de l’agrément procuré par cet arbre ? De sa beauté, de ses parfums et de sa force vitale ? De son apport du point de vue climatique : pourvoyeur d’oxygène, absorbeur de CO2 et bio-climatiseur par son évapo – transpiration ?
Si nous ne décidons pas de l’isoler ou de le haubaner, il sera prochainement abattu. Sans dramatisation exagérée, la perte pour nous sera immense.
Alors, posons la question aux fidésiens : Voulons-nous sauver le séquoia de la place de l’église ?
Retrouvez ici l’intégralité de l’article paru dans La Feuille Fidésienne #2 (novembre-décembre 2020)
Zone 30 Un questionnement sans réponse
Serge Replumaz lors du Conseil Municipal du 1er octobre 20 a proposé de passer l’ensemble des voies publiques en « ZONE 30 ». Pourquoi une telle proposition ?
Une zone 30 est un ensemble de voies où l’autorité communale, investie du pouvoir de police de la circulation, limite la vitesse de circulation des véhicules à 30 km/h.
Souvent, une zone 30 comprend l’ensemble des voies réservées à la desserte locale sur un périmètre cohérent, à l’échelle d’un quartier voire d’une zone plus vaste (ex. centre-ville). Une zone 30 peut également comprendre des sections de voies avec un trafic de transit significatif lorsque la collectivité souhaite imposer la coexistence de ce trafic avec une forte fréquentation piétonne (ex. rue commerçante), la présence d’enfants (ex. abords d’établissement scolaire) la présence de personnes âgées (EHPAD, foyer logements etc) ou connecter des quartiers à la circulation apaisée.
La mise en zone 30 d’une ville dans sa totalité n’est pas une nouveauté. Metz en 2010, Nantes en 2020, Grenoble en 2016, et même 43 des 49 communes de droite comme de gauche ou écologistes de la métropole de Grenoble, ont passé le pas depuis plusieurs années. En fait, cela n’a pas de conséquence sur la vitesse moyenne qui passe de 18 à 17km/h, soit moins de 20 secondes par kilomètre. Mais on divise par SEPT le risque de décès en cas de choc et cela change le rapport à l’espace urbain.
Oullins, depuis juillet 2019, est la première commune (Maire LR) de la métropole de Lyon à avoir fait ce choix. La Maire explique que cette vitesse réduite permet de partager les espaces et de redonner toute leur place aux piétons et aux deux-roues. La rue est un espace de vie et de circulation qu’il faut partager. De plus, cette mise en place (Zone30) permet de renforcer la sécurité des piétons, notamment des enfants et des personnes à mobilité réduite.
Alors à Sainte-Foy-lès-Lyon, Madame le Maire, c’est pour quand ?
Zone 30, Pour ou Contre ?
POUR L’apaisement de la circulation améliore la qualité de l’environnement urbain par plusieurs effets
• ESPACE PUBLIC PLUS SÛR Il est aussi plus lisible, et plus accessible pour les usagers les plus fragiles : les enfants, les personnes âgées, les handicapés et les personnes à mobilité réduite.
• ACCIDENTS RÉDUITS ET MOINS GRAVES
Études canadienne sur l’impact de la vitesse lors d’accident de la route en ville.
Les accidents ont des conséquences beaucoup moins graves, en particulier pour les usagers plus vulnérables (piétons, cyclistes) ; Il y a un rapport direct entre la vitesse d’un véhicule et la gravité d’un accident. Entre 30 et 50 km/h, la distance de freinage double. En réduisant la vitesse, le risque d’accident mortel décroît significativement.
• CIRCULATION PLUS FLUIDE La différence de vitesse avec des véhicules plus lents (ex. vélos) est réduite, d’où une intégration à la circulation plus facile.
• CONSOMMATION CARBURANT RÉDUITE Les cycles d’accélération et de décélération, principaux générateurs de surconsommation de carburant et de pollution aérienne et sonore en agglomération, sont réduits.
• SIMPLIFICATION DES RÉGIMES DE PRIORITÉ Les distances d’arrêt réduites (de l’ordre de 10 à 20 m) permettent de simplifier les régimes de priorité aux intersections et facilitent la traversée hors passage piéton signalé, réduisant ainsi l’effet de coupure d’un quartier par une circulation rapide et dangereuse.
• CONVIVIALITÉ DE L’ESPACE PUBLIC L’espace public est plus convivial. Plus apaisé. Plus tranquille.
• DIMINUTION DE LA POLLUTION SONORE Une diminution de la vitesse de circulation de 50 à 30km/h permet une réduction sonore de 2 décibels en moyenne selon l’ADEME (Agence de la transition écologique). D’autres études, notamment suisses, parlent de baisse de 3,4dB ; on parle plus généralement de réduction de près de 3dB qui permet de diviser par deux les nuisances sonores.
CONTRE Pourquoi changer notre environnement urbain qui a été pensé et fait depuis des décennies pour la voiture
• La voiture reste prioritaire sur les autres usagers, qu’ils soient piétons ou deux roues ;
• Le 30km/h est souvent présenté comme un moyen de lutter contre la pollution et le bruit. Alors que l’émission de dioxyde de carbone (CO2) et de dioxyde d’azote (NOx) est plus importante à 30 qu’à 50km/h. En fait, la pollution dépend davantage de la fréquence des variations de vitesse que de la vitesse moyenne. A 30km/h on conduit de manière plus anticipée et moins heurtée qu’à 50 !
• Il y a une réelle et difficile acceptation de la limitation à 30 par les automobilistes, ceci étant dû en particulier à la conception des véhicules mal adaptés pour rouler à ces vitesses. Toutefois, avec l’arrivée des boites automatiques, des véhicules hybrides et électriques, l’acceptabilité augmente au cours du temps pour les usagers pratiquant ces zones.
• On doit aller vite avec notre voiture qui facilite notre vie et qui fonctionne toujours comme un signe extérieur de richesse ; plus ma voiture est grosse et importante en taille (regardez la mode du SUV qui reste une aberration d’un point de vue économie d’énergies et pollution atmosphérique), plus je le manifeste aux autres. Plus j’ai un nombre important de voitures (une pour chaque membre de la famille !!!), plus j’ai un sentiment de toute puissance.
• Si les zones 30 n’ont pas d’aménagements spécifiques en entrée et sortie, on aboutit comme à Zurich par exemple a une recrudescence des accidents.
• Tout ceci a un coût En moyenne l’aménagement d’une zone 30 au niveau de la commune coûte plusieurs millions d’€uros, en prenant en compte la mise en place des dispositifs d’entrée et de sortie de zone, et ceux ralentissant les véhicules.